⟶ La presse en parle
Un Noël chez les Zemmouri
« Une comédie familiale (et franco-algérienne). » L’Express
« Le livre est parfois drôle, souvent émouvant, jamais cliché. Il permet de mieux comprendre la complexité des identités multiples. » Le Courrier de l’Atlas
« Porté par une langue fluide, ce roman nous donne à voir des personnages touchants, tangibles et modernes. Au carrefour de plusieurs identités, les enfants de Mima Ounessa se disputent son attention et se cherchent sans parvenir à se comprendre mutuellement… Un fort joli roman familial. » D’ailleurs et d’ici
Eleftheria
« Un roman à la fois poétique et tragique sur le fond d’une histoire mal connue. » Radio Shalom
« Sur ce terrible épisode de la Shoah des Juifs de Grèce, l’écrivaine Murielle Szac a construit un très beau roman pour redonner un visage et une histoire à quelques-uns de ces disparus. La grâce de son écriture nous les restitue sur leur terre de contrastes que subliment la mer et les reliefs. Ils sont libres et vivants, persécutés et dignes. Nous ne pourrons plus les ignorer. » Mare Nostrum
« C’est un récit qui compte. Grâce à ce roman, le lecteur voit des femmes et des hommes qui n’ont plus vraiment disparu. » Lire Peu ou Proust
« Murielle Szac au fil de chapitres courts à la dramaturgie serrée et intense livre un récit choral qui fait s’entrecroiser les histoires d’hommes et de femmes pris dans l’étau d’une guerre qui conduit à leur extermination. Les inscrivant dans un contexte historique méconnu, elle dessine des portraits qui donnent envie de s’attacher à leur héroïsme et leurs faiblesses, à leurs peurs et leur courage. Un
chant à la liberté, un chant qui prône l’espoir au-delà de la souffrance et des résonances tragiques qu’il trouve dans l’actualité en Méditerranée et en Ukraine. » APA Grains de sel
Aucune terre n’est la sienne
« Indo-népalais, Prajwal Parajuly est un des rares écrivains à traiter du sort de ses compatriotes. L’intérêt de ses nouvelles réside surtout dans la peinture des personnages, majoritairement des femmes de caractère, qui pallient les déficiences des hommes. » Livres Hebdo
« Un recueil qui nous immerge dans le quotidien des Népalais de la diaspora. Beaucoup de sensibilité et de finesse, mais aussi un humour parfois caustique et particulièrement délicieux. » Les chroniques de Koryfee
« C’est la notion d’identité qui se joue, mais pour nous, lecteurs occidentaux qui découvrons une culture, c’est un voyage qui dépayse tout autant qu’il rassure lorsque nous retrouvons les mêmes rêves – et les mêmes mesquineries – que les nôtres. Chaque nouvelle a son charme. » 20 minutes
« C’est avec un humour grinçant et beaucoup de dérisions que Parajuly nous conte ces retrouvailles mémorables qui marquera indéniablement l’esprit de ses lecteurs. » Inde en livres
« Une galerie de personnages qui cherchent leur place dans le labyrinthe des castes, des groupes ethniques ou linguistiques et des religions auxquelles ils appartiennent. Des personnages profondément humains. Avec en prime, pour le lecteur occidental, l’intérêt de plonger dans des mondes inconnus, ceux des multiples communautés de ces régions himalayennes, le Sikkim, le Népal, le Bhoutan, si éloignées de ce que nous connaissons. » Asialyst
Cœur du Sahel
« Au nom des femmes. Auréolée de son roman Les Impatientes, finaliste du prix Goncourt et Goncourt des lycéens 2020, Djaïli Amadou Amal continue de défendre les droits des femmes, dans son œuvre et sur le terrain. Dans Cœur du Sahel, son nouveau roman, elle fait souffler l’harmattan sur les multiples sévices faits aux femmes et leur accès à l’éducation. » Lire Magazine littéraire
« Icône féministe, Amal porte aussi un message d’espoir pour la littérature africaine. Un texte de combat. » Livres Hebdo, Trophée « Autrice de l’année 2021 »
« Un message d’espoir. » Le Figaro
« Djaïli Amadou Amal mène de main de maître cette tragédie mue par les ressorts universels des histoires d’amours contrariées et le romanesque d’une trajectoire à la Jane Eyre, mais qui est aussi une dénonciation sans détour de mœurs d’un autre âge dans une région ébranlée par les tensions ethnico-religieuses. Captivant. » La Vie
« Djaïli Amadou Amal n’oublie rien de son féministe militant dans Cœur du Sahel, mais reste romancière. Elle est à nouveau la voix forte qui dit le sort réservé aux femmes et aux filles de son pays. » Le Soir
« Avec Cœur du Sahel, elle signe ici un texte fort sur la condition des femmes au Sahel, les injustices dont elles sont victimes, comme si elles demeuraient inéluctables au fil des générations. Il faut avoir l’âge de Faydé pour lutter et garder espoir. » Ouest France
« Djaïli Amadou Amal décrit les frontières infranchissables d’une société tenue par ses préjugés ethniques, religieux, et de classe. Elle fait du roman ce riche creuset de rencontre avec l’autre, rapprochant les mondes grâce à son talent de conteuse et à son art de ne pas s’en laisser conter. » Le Point
« Figure emblématique, l’auteur camerounaise peule a fait de sa vie le matériau même de son œuvre. Auréolée du Goncourt des lycéens, elle revient avec Cœur du Sahel, puissante et romanesque évocation de la condition des femmes. » Madame Figaro
« Cœur du Sahel prend à nouveau le parti des femmes et mêle la romance à la peinture sociale. » Le Monde Afrique
« Djaïli Amadou Amal, l’auteure camerounaise qui dynamite le patriarcat. La romancière, style simple et précision d’orfèvre, n’a pas son pareil pour décortiquer les rouages de la domination. » Marie-Claire
« Un roman au sujet brûlant. » Elle
« La romancière africaine livre un cri déchirant ainsi qu’une prière sincère pour la femme. » Baz’art