Les coups de cœur des libraires

Charline Effah

Les Femmes de Bidibidi (2023)

« Charline Effah livre ici un roman poignant où elle interroge la place de la femme dans une société inégalitaire et injuste. »
 Librairie Dialogues, Brest

« Premier coup de cœur de la rentrée ! Le livre de Charline Effah est bouleversant. Entre résistance et résilience, cet ouvrage mérite vraiment d’être défendu. »
Librairie Le Phare, Paris.

« Magnifique 1er roman au sujet lourd et fort : la place de la femme et le non-respect de son corps en période de guerre... L’autrice nous fait entrer dans le camp de Bidibidi grâce à une écriture extrêmement fluide et il est difficile pour le lecteur de refermer le livre ! » 
Mots et images, Guingamp

 « Une écriture sobre qui révèle avec une grande justesse la guerre et ses violences faites aux femmes. » La petite Ourcq, Paris

« C’est un roman lumineux et dur sur ce que vivent les femmes, sur leur non-choix de vie, sur ce qu’on leur impose, sur ce qu’elles doivent faire pour survivre. C’est un beau roman, bien écrit, qui bouleverse. » Librairie La Fabrique, Bar-le-Duc

« Les Femmes de Bidibidi est un roman court et très fort qui ne laissera aucun lecteur indifférent. Le destin de ces femmes maltraitées par la vie est particulièrement émouvant car elles semblent souffrir de la double peine de connaître l’exil mais aussi surtout d’être des femmes. Un livre essentiel ! » 
Les Mangeurs de livres, Pontlevoy

« Dans un camp de migrants, des femmes tentent de se réparer, réunies autour de leurs tragédies communes. Un roman dur et beau sur la migration, l’intimité, le corps des femmes, leurs souffrances, leur réparation. »
À la marge, Montreuil

« Un roman sur la violence faite aux femmes, en tant que fille, mère ou épouse dans des sociétés où règnent tradition et patriarcat. Un premier roman puissant ! » 
Montbarbon, Bourg-en-Bresse



« Ce roman bouleversant est un cri de rage et d’impuissance des femmes malgré ce qu’elles subissent tous les jours, elles font face. Mais c’est surtout un roman de la réparation et de la résilience. Sublime ! »
Librairie Point-Virgule, Aurillac

« Charline Effah raconte comment les survivantes de violences domestiques ou de viols de guerre tentent de se reconstruire et réinventent l’amour loin de la brutalité des hommes. » 
Librairie à soi.e, Lyon

« Un premier roman à l’écriture apaisante pour évoquer les violences faites aux femmes. Grand coup de cœur de cette rentrée ! » 
Librairie La suite, Versailles

Walid Hajar Rachedi

Nos destins sont liés

« Salem Bensayah, Lisa Elatre-Levy, Céline de Verrières, Matthieu Vincent et Ronnie Elatre-Levy. À travers cinq voix dissonantes mais harmonieuses, Walid Rachedi laisse entendre les destins singuliers et semblables des enfants de la génération X. Ils sont financier, étudiant, écrivain ou rappeur en devenir, ou tout juste diplômée et tous se trouvent entraines dans le tourbillon de la vie, de leur époque et des hasards des rencontres. Leurs chemins vont se croiser en même temps que leurs étoiles et la vie se chargera de rebattre des cartes qu’ils ne pensaient même pas avoir en main.
Auteur du très remarqué pour Qu’est-ce que j’irais faire au paradis ? (Finaliste du Prix Goncourt du premier roman), Walid Hajar Rachedi signe pour son deuxième livre une comédie urbaine parfaitement réussie. Dans la droite ligne de Virginie Despentes, dont le Vernon Subutex déambule dans les années 1990 ou celle d’Armistead Maupin, qui plonge Mary-Ann Singleton dans le San Francisco des années 80, l’auteur dépeint avec acuité et clairvoyance les années 2000 dans lesquelles ses personnages se débattent. Une belle surprise qu’il serait dommage de laisser de côté. »
Catalogue de Libraires Ensemble pour la rentrée littéraire d’Août-Septembre 2023, mis en ligne le 22 août 2023.

« Qu’est-ce que j’irai faire au paradis, premier roman de Walid Hajar Rachedi a été mon gros coup de cœur l’année dernière. Il fut finaliste du Goncourt du premier roman et du prix Orange du livre dont j’étais membre du jury. Il est maintenant temps de découvrir Nos destins sont liés !
Walid Hajar Rachedi nous propose ici de suivre une génération perdue à la recherche d’un sens qu’elle peine à trouver. Salem, brillant financier, remet en cause sa fulgurante ascension. Lisa termine sa période d’essai dans la même entreprise. Ronnie, son frère plutôt glandeur, se rêve rappeur et est ami d’enfance de Malek, le frère de Salem. Matthieu, écrivain du dimanche, se complaît dans son personnage de dilettante. Céline, au look gothique dans un lycée privé, est en rébellion contre son milieu. Peu importe leurs origines et leurs milieux, tous partagent les mêmes questions existentielles.
Nos destins sont liés est à lire en parallèle avec Qu’est-ce que j’irai faire au paradis ? qui apporte un autre point de vue sur certains personnages du livre. Il nous propose ici le portrait d’une génération qui doit mettre ses envies et ses rêves à l’épreuve de la réalité. Les destins des différents personnages se croisent et s’entrecroisent à merveille sous la plume virtuose de l’auteur. Avec son vrai talent pour faire vivre ses personnages, il parvient à nous emporter avec lui dans cette histoire. Et en filigrane à nous faire réfléchir avec lui sur les thématiques de l’immigration et de l’intégration.
Un livre à ne pas rater ! »

Julien Véron, Mangeurs de livres, Pontlevoy

Murielle Szac

Eleftheria (2022)

« Où l’on découvre la Crète au moment de l’invasion nazie. Épique et émouvant ! »
Librairie Atout Livre, Paris

« J’ai été marquée par la pluralité des destins évoqués, émue par les amours et amitiés qui
se font et se défont, bouleversée par la cruauté de cette période méconnue. Je garde vivaces
les sensations du soleil, des fleurs et des fruits de la Crète, dont l’autrice a si bien su irriguer
son roman. » Librairie La Géosphère, Montpellier

« Un magnifique roman choral et solaire. Coup de cœur ! » Librairie Le Domaine des murmures, Champagnole

« Un ouvrage bouleversant. À lire absolument ! » Librairie Le Phare, Paris

« Un roman fort et touchant. » Librairie La Fabrique, Bar-le-Duc

« Une odyssée chuchotée à l’oreille ! » Librairie Le Chat Pitre, Paris

Walid Hajar Rachedi

Qu’est-ce que j’irais faire au paradis ? (2022)

« Roman exceptionnel, contemporain, sans concession, qui m’a littéralement scotché. Il aurait tout à fait sa place dans la sélection du Prix Filigranes. La plume, l’intrigue, le rêve, l’actualité, le voyage… La pépite de la rentrée. »
Filigranes, Bruxelles

« Et oui qu’irais-je faire au paradis ? Suivre Malek, Atik, passer les frontières, dans le monde qui les attend, il y aura plusieurs paradis, pas ceux du prophète, mais une quête qui de Paris à Kaboul nous entraine loin, très loin ! » Librairie
Saint Christophe, Lesneven

« Walid Hajar Rachedi, au lendemain des attentats de Charlie et du Bataclan, constate qu’il connaît des noms du côté des victimes et du côté des terroristes. De ce constat naît un roman initiatique qui met en scène Malek, 17 ans, qui tente de comprendre, de Lille à Tanger en passant par Grenade, à quel moment les enjeux intimes et politiques coexistent dans le terrorisme. Sincère et lumineux. »
La petite Ourcq, Paris

« Malek, jeune musulman à la recherche de lui-même, s’ouvre aux histoires de ceux qu’ils rencontrent, jeunes ou plus âgés, Européens ou Orientaux, tous semblent liés par un passé où se mêlent blessures de l’Histoire et cynisme de la politique. Récit de voyage et roman initiatique, chroniques sociales et histoire d’amour, parfois mélancolique, sérieux ou plus léger, le tout dans une construction narrative qui se tient et nous laisse captif. Un roman plein de talent. »
Librairie Dédicaces, Rueil-Malmaison

« Une quête existentielle qui traverse les frontières. À la recherche d’un ailleurs, d’une nostalgie fantasmée qui n’a peut-être jamais existée. Voir le monde de ses propres yeux ! » 
Librebook, Bruxelles

« Roman intense ou se mêlent plusieurs histoires, plusieurs voies qui finissent par se retrouver… Le destin est-il inéluctable ? Où est notre libre arbitre ? Telle est la question de ce livre… et elle reste entière, c’est au lecteur de décider si le destin est plus fort que tout. »
Librairie Guerlin, Reims

« Un très beau premier roman qui parle de quête, d’identité, de racines, de la jeunesse et du désir d’ailleurs. Un roman à la fois beau et dur, de Paris au Caire, en passant par Kaboul, Grenade et Tanger. »
La Pléiade, Cagnes/mer

Anouar Benmalek

L’Amour au temps des scélérats (2021)

« C’est un énorme coup de cœur ! Peut-être devrais-je parler du côté romanesque et fabuleux du texte, du personnage mystique, théâtral et loufoque de Tammouz, de la voix d’Houda, des scènes tantôt caustiques et tantôt tragiques des événements. Du sujet : la Syrie actuelle , le massacre des Yézidis, de l’enrôlement des jihadistes, des combats kurdes, des combattants américains, de folie... Des personnages si attachants, si touchants, de cette compassion qui nous étreint au fur et à mesure de l’histoire. Peut-être devrais-je parler de l’amour de ce couple qui a survécu à l’exécution, de cette mère pour ses enfants, de Reben pour son frère handicapé, de l’amour au milieu de l’horreur et de la peur. Mais c’est tellement plus que cela. Je vous conseille vivement de lire cette pépite. »
La Fabrique, Bar-le-Duc

« D’une main de maître, l’auteur renoue les fils de la destinée de ses personnages. Il tisse la trame de la terrible réalité, adoucie par une touche de réalisme magique auquel le lecteur adhère sans faillir. Un roman adamantin où l’amour et la compassion s’opposent aux tares humaines : la bêtise, la cruauté, le fanatisme, et offre l’espérance. »
Espace culturel, Rezé 

« Grande fresque où l’on suit les destins de Kurdes, de Yézidis, de djihadistes, de soldats américains, enfants enrôlés de force, adultes épris de haine ou assoiffés d’amour dans une Syrie dévastée par la guerre. Qu’ils soient cruels, grotesques, altruistes ou courageux, tous sont ici tels qu’ils ont été créés par un immense écrivain. »
L’Arbre à lettres, Paris 

« Un très grand roman, tout simplement vertigineux ! »
L’Oiseau Moqueur, Sucy-en-Brie

« Roman follement romanesque qui nous plonge dans une Syrie meurtrie où le monde est devenu fou. Il est impossible de ne pas s’attacher aux personnages de Benmalek ! Confrontés à l’horreur ubuesque instaurée par Daech, ils se battent pour survivre et sauver ceux qu’ils aiment… »
Le Furet du Nord, Lille  

« Roman d’une ambition folle, L’amour au temps des scélérats est une parabole où le cocasse le dispute à la tragédie et où l’on croise de drôles de personnages, à commencer par Tammouz, ce surprenant candidat au Jihad, parti en quête de celle qu’il aimée, bientôt condamné à mort et adulé par les chats du village… »
Librairie Attitude, Albi

« Difficile de parler de ce si beau livre tant la peur de ne pas être à la hauteur de l’auteur nous taraude. Comment Anouar Benmalek réussit-il l’exploit de nous dire l’indicible, dans un grand souffle romanesque avec tant d’humanité, promenant son lecteur, en apnée, au milieu du chaos, le faisant passer du sourire aux larmes avec délicatesse, espièglerie, tendresse ? Il faut être un grand équilibriste des mots pour réussir cela. Anouar Benmalek au sommet de son art ! »
Antipodes, Enghien-les-Bains

« L’amour comme rempart à la barbarie. La fantaisie jubilatoire de ce roman emporte tout sur son passage jusqu’à l’apothéose finale ! »
Millepages, Vincennes

« Si vous voulez avoir une idée de ce qu’est la guerre, en Syrie ou ailleurs, de ce qu’est la folie des hommes, la mort absurde qui frappe que l’on soit un salaud ou un saint, l’indifférence de Dieu, quel que soit le nom qu’on lui donne, et l’amour malgré tout qui renait dans les ruines, lisez ce superbe livre. Un bon livre est souvent un livre qui dérange. Celui-ci est certes dur...mais inoubliable. »
Charlemagne, Toulon

« Un très grand roman qui retrace l’amour de deux êtres sur fond de guerre au Proche-Orient. Entre l’intolérance religieuse et la tyrannie meurtrière, il faut choisir et continuer.
Une histoire de conscience et de survie… Laissez-vous embarquer ! »
L’Autre Monde, Avallon

« Happé dès les premiers mots par un style percutant, je me suis d’abord
 demandé où j’avais atterri en découvrant un personnage quasi "monty-pythesque" devenir le souffre-douleur puis la mascotte d’un petit village à la population peu recommandable. L’auteur nous sert une ironie jubilatoire qui, loin de dénaturer un sujet grave, permet surtout de mettre en lumière la tenace absurdité humaine. Terrorisme religieux, cruauté gratuite, obscurantisme, misogynie systématique... Un tableau pareil à du Soulage imprégné de charbon et de suie en somme. Et pourtant au milieu des ruines et des fusils d’assauts, des drones et des charniers, quelques rais de lumières viennent tromper l’horreur par l’entremise d’êtres cabossés encore capables d’amour et d’espoir. C’est poignant. C’est terrible. Un petit miracle de la rentrée littéraire. »
Athenaeum, Beaune

« Mon plus gros coup de cœur de la rentrée, je l’ai dévoré avec voracité et un plaisir plus qu’intense. C’est érudit, littéraire, espiègle et jubilatoire. Impossible à lâcher, et ce dès les premières lignes tellement on se laisse porter dans cette histoire fabuleuse entre Homeland et les Mille et une nuits ! »
Fontaine Victor Hugo, Paris

« Anouar Benmalek nous propose un conte magnifique sur la déraison de l’amour, seul remède contre la déraison meurtrière de la guerre. Un texte gonflé sur l’intolérance religieuse et la folie du monde. »
La Mémoire du monde, Avignon

« L’amour et la religion sont les moteurs des hommes, pour le meilleur et pour le pire. Ce sont aussi les sujets de prédilection de Benmalek qui dénonce la violence humaine faite au nom d’un dieu, le tout dans un style admirable où l’on perçoit tout le respect que porte l’auteur à Garcia Marquez et à Boulgakov. Un ouvrage magistral. » 
Atout Livre, Paris

Khalil Diallo

L’Odyssée des oubliés (2021)

« L’émigration subsaharienne traitée sous un angle nouveau. Éclairage poignant sur les motifs de départ et d’exils forcés... »
Librairie des Canuts, Lyon

« Sembouyane quitte son village massacré, il veut tenter la longue odyssée vers l’Europe. Une plongée dans la réalité de vie des migrants, dans la folie des hommes, le fanatisme religieux, les aléas de la nature. Un roman magnifique, dur, vrai. »
Le Jardin des lettres, Craponne

« Cette tragédie contemporaine qui redonne un visage à ceux que le désert ensevelit, que la mer engloutit ou que la violence humaine emporte. La transmission et la mémoire comme armes pour survivre à ce terrible voyage. »
Millepages, Vincennes

« Khalil Diallo nous fait vivre à la fois avec une grande poésie et une telle intensité cette traversée de l’Afrique de l’Ouest jusqu’à Tanger que je ne peux que vous dire de lire ce roman magnifique et terrible roman qui vous marquera, j’en suis sure ! »
La Pléiade, Cagnes/mer

« Diallo nous offre un texte humainement intense, rythmé par de courts chapitres et une langue poétique, où la force des mots choisis accentue la beauté de cette odyssée bouleversante. »
Jeux de Pages, St Jean D’Angely

« Le périple de quatre vulnérables, de la côte occidentale de L’Afrique à la Méditerranée, sur les routes de la clandestinité et de la migration. Roman d’exil et d’espoir, sous le signe de l’intime et du politique. »
L’instant, Paris

William Navarrete Pierre Bignami

Le Tour du monde en 80 saveurs (2020)

« Ce livre roboratif, instructif et plein de vitamines vous entraîne dans un voyage gastronomique aux escales improbables, aventureuses et drôles. Ne vous en privez pas ! »
Librairie Saint-Paul, Paris

« Un livre qui ravira les esprits curieux et épicuriens ! »
Fnac, Nice

« Ces récits de voyage nous emmènent à la rencontre de régions, de femmes et d’hommes, de saveurs… La cuisine locale est une façon de découvrir, comprendre, les traits singuliers du pays traversé et aussi d’une partie de son histoire et de sa culture »
Le Texte Libre, Cognac

Djaïli Amadou Amal

Les Impatientes

« Magnifique portrait de femmes. Un conte terrible pour parler de la réalité et une belle façon de faire entendre la voix de femmes refusant de se soumettre. »
L’Instant, Paris

« Un gros coup de cœur. Un livre puissant et percutant. Avec Les Impatientes, Amal brise les tabous en dénonçant la condition de la femme dans le Sahel et nous livre un roman bouleversant sur la question universelle des violences faites aux femmes. »
Les Accents, Cany-Barville

« À travers trois portraits, une brutale dénonciation des violences faites aux femmes du Sahel. Bouleversant ! »
Les Nouveautés, Paris 10è

« Un roman polyphonique qui ose briser le tabou de la polygamie, des violences conjugales ainsi que celui du mariage forcé, au Nord du Cameroun. Bouleversant, fort et nécessaire ! »
L’Arbre à mots, Rochefort-sur-mer

« Un vrai bijou qui nous vient du Cameroun ! Une plongée au plus près de la souffrance (sans issue ?) de femmes condamnées à se soumettre. Publié aux Éditions Emmanuelle Collas, une éditrice découvreuse de nouveaux talents venus d’ailleurs pour notre plus grand plaisir ! »
La Pléiade, Cagnes-sur-mer

« C’est une plongée au plus près de la souffrance des femmes. Cette auteure est aussi une militante pour le respect des femmes et le droit à la lecture dans tout le Sahel. Tout simplement magnifique ! A lire absolument ! »
Librairie Diderot, Nîmes

« Un texte incroyable ! Une écriture juste qui nous saisit par sa richesse ! On recommande à plus d’un titre ! »
L’Impromptu, Paris

« Ce roman rentre dans l’intimité de trois d’entre elles et montre tout l’intolérable de leur vie. Révoltant et magnifique ! » 
Le Divan, Paris

« Trois héroïnes, trois stratégies de résistance face à la polygamie qui verrouille le destin des femmes dans cette région du Sahel. Un roman choral qui nous plonge au cœur d’une tradition qui monte les femmes les unes contre les autres dans l’intérêt des hommes, un monde fait de silences et de tabous. Un texte coup de poing. Absolument essentiel. »
Passages, Lyon

« Remarquable et nécessaire. » Millepages, Vincennes

« À grand renfort d’une écriture épurée et chirurgicale mais pleine de cœur, Djaïli Amadou Amal signe un roman d’une intensité phénoménale. À lire, à relire et à partager. »
Nouvelle & Cie, Bois-Colombes

« Un livre court et révoltant ! Une lecture essentielle. » Mémoire 7, Clamart

« Un premier roman aussi bouleversant que nécessaire. » La Galerne, Le Havre

« Un texte puissant sur les femmes peules. C’est aussi le récit de coutumes misogynes, de violences mais surtout de femmes fortes qui chacune à leur manière vont regagner leur dignité. »
Fontaine Villiers, Paris

« Un livre fort, nécessaire sur la condition féminine au Sahel. » L’Autre Monde, Avallon

« Le bonheur est un luxe que ces femmes ne peuvent pas se permettre. Et ne leur parlez pas de patience, de munyal. Un roman fort et intense, à leur image ! »
Mots et Images, Guingamp

« Ce roman a le mérite de contribuer à faire bouger les lignes des mentalités et des traditions qui ne sont pas en adéquation avec le monde actuel et rend hommage à la force des femmes impatientes. » Fontaine, Luberon

« Le Goncourt des lycéens récompense souvent des romans forts, sans concessions. C’est vraiment le cas avec ce roman de Djaïli Amadou Amal. Bouleversant. Les Impatientes est un livre de révolte et de combat. »
La Grande Ourse, Dieppe

« Un livre nécessaire. » Fnac, Annemasse

« Ce roman bouscule par sa brutalité, révolte par notre impuissance, nous met face à une condition féminine du XXIe siècle loin de toute émancipation tant recherchée. »
Page et Plume, Limoges

« Lire Djaïli Amadou Amal, c’est plonger dans les destins croisés de trois femmes, de trois portraits bouleversants. L’autrice a connu cet esclavage moderne. Et c’est d’autant plus touchant et éprouvant de lire ces vies de femmes magnifiques dont on piétine les rêves, la joie et l’insouciance. »
Coiffard, Nantes

« Une fiction inspirée de la réalité où le mot " Patience" fait le quotidien de ces camerounaises. Colère, souffrance, soumission égrainent les pages de ce roman de révolte que l’on ne lâche pas, une fois qu’on l’a commencé. » Vauban, Maubeuge

« Un roman terrible et salutaire. » Comme un roman, Paris

« Mariage précoce forcé, viol conjugal, consensus et polygamie. Un roman bouleversant sur la question universelle des violences faites aux femmes. »
Hisler Even, Metz

« Un livre bouleversant sur la question universelle des violences faites aux femmes. »
Durance, Nantes

« Ouvrage poignant et engagé, le roman de l’autrice camerounaise raconte le destin de trois femmes confrontées à la violence des mariages forcés et la pesanteur des traditions. »
Les Fringales littéraires, Les Herbiers

« Un puissant témoignage d’une triste et cruelle réalité. » Les Pertuis, Saint-Pierre d’Oléron

« Un texte brulant, nécessaire. » Librairie de Paris, Paris

« Dans ce roman polyphonique, Djaïli Amadou Amal évoque dans un style simple qui donne toute sa force au roman la question de la polygamie dans le Cameroun. Conteuse hors pair, elle brise avec Les Impatientes les tabous des violences psychologiques et physiques faites aux femmes dans le Sahel. »
Compagnie, Paris

« La question universelle des violences faites aux femmes et de leurs conditions de vie au Sahel. Mariage forcé, viol conjugual, polygamie. Découvrez les trois bouleversants destins de jeunes femmes fortes et impatientes face à cette vie imposée. Un magnifique livre avec une histoire poignante ! »
Delamain, Paris


« Magnifique roman qui se déroule au Cameroun où des femmes musulmanes racontent leurs vies soumises à la volonté et l’autorité implacables de l’homme, père ou mari. »
Petites histoires (entre amis), Chennevières sur Marne

« Une voix indispensable et sidérante Avec patience et résilience tout s’arrange, comme dissiper un écran de fumée et dévoiler. »
Nouvelle Librairie Baume, Montélimar

« Ce livre est une petite pépite ! » Le Chat Pitre, Fécamp

« Ce roman est un vrai choc, non par son style, tout en retenue et en pudeur, mais par les attitudes et les propos décrits. Ce récit plein d’empathie pour les femmes du Nord-Cameroun est un plaidoyer pour l’éducation, clé de l’émancipation féminine. C’est aussi un cri d’admiration envers ces femmes qui endurent un quotidien sans perspective, à force de courage et de résignation. Djaïli Amadou Amal signe une critique sans appel de l’immobilisme, de la soumission et de l’enfermement des femmes au nom de la tradition. Les lycéens lui ont décerné leur prix Goncourt : ils ne se sont pas trompés. »
Le Livre Bleu, Versailles 


« Un livre important pour les femmes d’Afrique, pour les femmes tout court, pour l’humanité bien sûr. » Les Bien-aimés, Nantes

« Un roman qu’on ne lâche pas du début à la fin. Avec la magie incroyable de son écriture, Djaili Amadou Amal en fait un envoûtant Conte des mille et une nuits de l’indicible, raconté par trois Shéhérazade au cœur de l’enfer, trois "impatientes" en lutte contre la violence et la soumission. Ne passez pas à côté de ce roman incroyable, prix Goncourt des Lycéens 2020 ! » 
Passerelles, Vienne

Prajwal Parajuly

Fuir et revenir (2020)

« Des portraits formidables et attachants, un rythme effréné : une lecture parfaite pour se déconfiner l’esprit. »
Maupetit, Marseille

« Un grand roman. » Charlemagne, Toulon

« Grand coup de cœur. Une comédie douce-amère singulière et magistrale ! Un régal de lecture. Une superbe découverte ! » L’Arbre à mots, Rochefort/mer