La presse en parle

Iva Pezuashvili

Le Bunker de Tbilissi

« L’autopsie d’un pays en décomposition avancée. Un court récit, piquant, parfois drôle, souvent désespérant. »
Le Monde

Charline Effah

Les Femmes de Bidibidi

« Voix à écouter, voix à panser. (…) Avec Les femmes de Bidibidi, Charline Effah parvient à dire avec sensibilité et compassion l’indicible du corps profané, sans jamais taire, par-delà les souffrances, ce qu’il continue néanmoins à raconter du désir, de la maternité, de l’usure des caresses, mais aussi de la tendresse et de l’amour qui réparent, si peu, sans doute, au moins un peu. »
Africultures

« La littérature est le lieu où la fiction tente de réparer ce qui fracasse les humains dans la vie réelle. »
Hans et Sandor, Parlons littératures

« Je voulais écrire pour l’avenir et pour que la postérité se souvienne qu’il y a eu un pays qui s’est vidé de ses femmes et de ses enfants. (…) Mon livre interroge les traces, les fêlures, et les cicatrices qui ont marqué les corps et les esprits de ces femmes et les conséquences que cela peut générer sur la façon de vivre leur féminité. »
Amina

« Les Femmes de Bidibidi est un roman percutant, qui dit la saloperie des hommes et l’obscénité de la guerre – comment on s’en relève ou pas, quand on est femme ou fille. Percutant, pour qui n’a jamais mis les pieds dans un camp de réfugiés, ce livre l’est surtout parce qu’il dénonce, par la voix d’une auteure d’origine africaine, le comportement d’oppresseur du Mâle noir, pour reprendre le titre d’un roman du Sénégalais Elgas (Ovadia, 2021). Il l’est aussi parce qu’il met en lumière le désir des Subsahariennes d’une vie autre et bonne. Ce n’est pas si souvent. »
Le Matricule des Anges

« Avec ce titre, Charline Effah nous livre un roman à l’intrigue extrêmement puissante. Elle donne la parole à toutes les femmes qui se sont échappées de l’horreur et qui tentent de se reconstruire. Le premier roman de cette autrice est aussi puissant que soigné, aussi éprouvant que nécessaire. La plume est délicate, touchante et sensible. (…) Tout est cruellement vrai et terriblement juste. Une force hors du commun émane de cette lecture au premier abord difficile, mais absolument indispensable. Je souhaite un avenir radieux à ce roman bouleversant qui n’en demeure pas moins un coup de cœur tant j’ai eu du mal à le quitter. Laissez-vous séduire par la sobriété de ce visuel, vous ne le regretterez pas… Sans doute mon coup de cœur de cette rentrée littéraire. »
Café noir et Polars Gourmands

Walid Hajar Rachedi

Nos destins sont liés

« Ce qui fait lien dans leurs destins est bien la recherche éperdue de la beautée, esthétique certes, mais éthique, politique et sociale avant toute chose. Nos destins sont liés est un roman qui rappelle le bonheur d’être là, pour ces générations qui ont résisté à la mélancolie dans les vingt années écoulées, jeunesse que des esprits résolument chagrins ont accusée de tous les maux. »
L’Orient littéraire

« Nos destins sont liés : rêves et réalités au tournant du 21ème siècle par Walid Hajar Rachedi »
« En cette rentrée littéraire 2023, Walid Hajar Rachedi signe aux éditions Emmanuelle Collas un roman choral qui nous ramène au début des années 2000, à travers les trajectoires de jeunes plein d’ambitions, aux sources de nos liens et fractures sociales. (…) À travers les regards des personnages - et aussi leurs sentiments car il y a du romantisme dans ces destins liés – le roman en dit long sur les faux semblants du libéralisme et de la méritocratie qui semblait alors encore possible. 420 pages qui ne se lâchent pas. »
28 août 2023, Cult.News

« Comment faire société quand il n’y a pas consensus après la mort d’un adolescent ? Après le succès de Qu’est-ce que j’irais faire au paradis ?, finaliste du prix Goncourt du premier roman, l’écrivain émerveille à nouveau avec Nos destins sont liés, fresque polyphonique située au début des années 2000 dont les thèmes, traités dans un style truculent, résonnent avec l’actualité. »
Courrier de l’Atlas

William Navarrete

Cuba Spleen

« Dans ce livre, William Navarrete pointe du doigt les dérives du pays qu’il a quitté, la complaisance des autres états, il partage son expérience et s’interroge sur l’avenir qui paraît bien sombre dans cette "prison à ciel ouvert". Il est très conscient de la "chance" qu’il a de vivre en France et de pouvoir voyager et il témoigne de cette liberté si chère à son cœur. […]
Cette lecture m’a bouleversée, elle met des mots sur l’indicible, l’inacceptable et nous rappelle, si besoin est, les risques d’installer un dictateur à la tête d’un pays… » Médiapart

Zadig Hamroune

La nuit barbare

« Un récit à la fois drôle et émouvant, sincère et élégamment écrit. » Livres Hebdo

Sabrina Kassa

Un Noël chez les Zemmouri

« Une comédie familiale (et franco-algérienne). » L’Express

« Le livre est parfois drôle, souvent émouvant, jamais cliché. Il permet de mieux comprendre la complexité des identités multiples. » Le Courrier de l’Atlas

« Porté par une langue fluide, ce roman nous donne à voir des personnages touchants, tangibles et modernes. Au carrefour de plusieurs identités, les enfants de Mima Ounessa se disputent son attention et se cherchent sans parvenir à se comprendre mutuellement… Un fort joli roman familial. » D’ailleurs et d’ici

Murielle Szac

Eleftheria

« Murielle Szac mêle aventure individuelle et grande histoire dans ce récit choral en forme de tragédie antique. Elle revient sur un épisode méconnu, la Shoah des juifs de Grèce, dans un texte fort qui interroge la conscience de chacun face à son destin. » L’Obs

« Cette œuvre chorale aux ressorts puissants explore la vie, dans l’exil ou l’engagement, d’hommes et de femmes vivant en Crète pendant la Seconde Guerre mondiale, à l’heure où le IIIᵉ Reich envahit l’île. Mêlant l’intime à la marche du monde, ce roman est un voyage passionnant à travers l’Histoire et les destins. » Le point

« Œuvre en rien fictionnelle, faisant revivre les drames de l’occupation, ELEFTHERIA nous introduit dans un monde où chaque communauté se distingue de sa voisine tout en partageant son quotidien. Derrière chaque personnage auquel Murielle Szac donne vie, le lecteur sent palpiter une vie qui fut. […] Les héros sont réellement animés par le souffle de la vie, va bien au-delà du simple roman : c’est un témoignage émouvant sur des communautés qui méritaient l’hommage que leur rendent les 350 pages d’ELEFTHERIA. » Kaminando i Avlando

« Voilà encore une histoire de femmes fortes, une histoire de résistance, une histoire de femmes juives qui s’est érigée au milieu de la Crète. Je recommande fortement ! » France Inter

« L’écriture du FEUILLETON DE TSIPPORA se nourrira de celle d’ELEFTHERIA, ce roman choral situé dans la Crète de la Seconde Guerre mondiale, qui s’interroge sur l’engagement et la liberté. "Ce que l’on fait de sa vie en fonction du contexte, la manière dont on fabrique son destin… je me rends compte que j’y reviens toujours." » Lemonde.fr

« Un roman à la fois poétique et tragique sur le fond d’une histoire mal connue. » Radio Shalom

« Sur ce terrible épisode de la Shoah des Juifs de Grèce, l’écrivaine Murielle Szac a construit un très beau roman pour redonner un visage et une histoire à quelques-uns de ces disparus. La grâce de son écriture nous les restitue sur leur terre de contrastes que subliment la mer et les reliefs. Ils sont libres et vivants, persécutés et dignes. Nous ne pourrons plus les ignorer. » Mare Nostrum

« C’est un récit qui compte. Grâce à ce roman, le lecteur voit des femmes et des hommes qui n’ont plus vraiment disparu. » Lire Peu ou Proust

« Murielle Szac au fil de chapitres courts à la dramaturgie serrée et intense livre un récit choral qui fait s’entrecroiser les histoires d’hommes et de femmes pris dans l’étau d’une guerre qui conduit à leur extermination. Les inscrivant dans un contexte historique méconnu, elle dessine des portraits qui donnent envie de s’attacher à leur héroïsme et leurs faiblesses, à leurs peurs et leur courage. Un
chant à la liberté, un chant qui prône l’espoir au-delà de la souffrance et des résonances tragiques qu’il trouve dans l’actualité en Méditerranée et en Ukraine. » APA Grains de sel

Prajwal Parajuly

Aucune terre n’est la sienne

« Un passionnant voyage au cœur de ces mystérieuses régions himalayennes à la diversité et à la richesse culturelle méconnues, en compagnie de femmes puissantes et résilientes qui, confrontées à l’oppression et la discrimination ethnique, religieuse et sociétale, nous fascinent. » Encres Vagabondes

« Indo-népalais, Prajwal Parajuly est un des rares écrivains à traiter du sort de ses compatriotes. L’intérêt de ses nouvelles réside surtout dans la peinture des personnages, majoritairement des femmes de caractère, qui pallient les déficiences des hommes. » Livres Hebdo

« Un recueil qui nous immerge dans le quotidien des Népalais de la diaspora. Beaucoup de sensibilité et de finesse, mais aussi un humour parfois caustique et particulièrement délicieux. » Les chroniques de Koryfee

« C’est la notion d’identité qui se joue, mais pour nous, lecteurs occidentaux qui découvrons une culture, c’est un voyage qui dépayse tout autant qu’il rassure lorsque nous retrouvons les mêmes rêves – et les mêmes mesquineries – que les nôtres. Chaque nouvelle a son charme. » 20 minutes

« C’est avec un humour grinçant et beaucoup de dérisions que Parajuly nous conte ces retrouvailles mémorables qui marquera indéniablement l’esprit de ses lecteurs. » Inde en livres

« Une galerie de personnages qui cherchent leur place dans le labyrinthe des castes, des groupes ethniques ou linguistiques et des religions auxquelles ils appartiennent. Des personnages profondément humains. Avec en prime, pour le lecteur occidental, l’intérêt de plonger dans des mondes inconnus, ceux des multiples communautés de ces régions himalayennes, le Sikkim, le Népal, le Bhoutan, si éloignées de ce que nous connaissons. » Asialyst

Djaïli Amadou Amal

Cœur du Sahel

« Au nom des femmes. Auréolée de son roman Les Impatientes, finaliste du prix Goncourt et Goncourt des lycéens 2020, Djaïli Amadou Amal continue de défendre les droits des femmes, dans son œuvre et sur le terrain. Dans Cœur du Sahel, son nouveau roman, elle fait souffler l’harmattan sur les multiples sévices faits aux femmes et leur accès à l’éducation. » Lire Magazine littéraire

« Icône féministe, Amal porte aussi un message d’espoir pour la littérature africaine. Un texte de combat. » Livres Hebdo, Trophée « Autrice de l’année 2021 »

« Un message d’espoir. » Le Figaro

« Djaïli Amadou Amal mène de main de maître cette tragédie mue par les ressorts universels des histoires d’amours contrariées et le romanesque d’une trajectoire à la Jane Eyre, mais qui est aussi une dénonciation sans détour de mœurs d’un autre âge dans une région ébranlée par les tensions ethnico-religieuses. Captivant. » La Vie

« Djaïli Amadou Amal n’oublie rien de son féministe militant dans Cœur du Sahel, mais reste romancière. Elle est à nouveau la voix forte qui dit le sort réservé aux femmes et aux filles de son pays. » Le Soir

« Avec Cœur du Sahel, elle signe ici un texte fort sur la condition des femmes au Sahel, les injustices dont elles sont victimes, comme si elles demeuraient inéluctables au fil des générations. Il faut avoir l’âge de Faydé pour lutter et garder espoir. » Ouest France

« Djaïli Amadou Amal décrit les frontières infranchissables d’une société tenue par ses préjugés ethniques, religieux, et de classe. Elle fait du roman ce riche creuset de rencontre avec l’autre, rapprochant les mondes grâce à son talent de conteuse et à son art de ne pas s’en laisser conter. » Le Point

« Figure emblématique, l’auteur camerounaise peule a fait de sa vie le matériau même de son œuvre. Auréolée du Goncourt des lycéens, elle revient avec Cœur du Sahel, puissante et romanesque évocation de la condition des femmes. » Madame Figaro

« Cœur du Sahel prend à nouveau le parti des femmes et mêle la romance à la peinture sociale. » Le Monde Afrique

« Djaïli Amadou Amal, l’auteure camerounaise qui dynamite le patriarcat. La romancière, style simple et précision d’orfèvre, n’a pas son pareil pour décortiquer les rouages de la domination. » Marie-Claire

« Un roman au sujet brûlant. » Elle

« La romancière africaine livre un cri déchirant ainsi qu’une prière sincère pour la femme. » Baz’art

Timour Muhidine

La Fille de l’ethnographe

« Dans un roman où l’humour et la qualité d’observation rivalisent d’une savoureuse finesse, l’écrivain Timour Muhidine, dont la mère est née à Thionville, croise le regard de deux générations sur deux civilisations. » L’Est Républicain

« La Fille de l’ethnographe est un roman social sur la manière de penser et de regarder l’autre. » RFI

« Un roman social empreint d’un humour aussi noir que certaines des pensées de ses protagonistes. Un roman qui, comme des classiques tels que Les lettres persanes de Montesquieu ou les Lettres à Taranta-Babu de Nâzım Hikmet, permet de se découvrir dans le regard de l’autre et de chercher des réponses que souvent l’on n’aurait pas osé poser. Un récit qui dévoile les complexités des relations
entre une fille et son père, mais aussi entre la Turquie et l’Europe, la France surtout, loin des clichés orientalisant et avec une bonne dose d’humour qui nous fait du bien. » Letzebuerger Land

« Ce navigateur des mondes s’appelle Timour Muhidine et quel que soit son chemin emprunté, il mène toujours à Istanbul. Le turc comme langue de passion et d’amour. » RFI En sol Majeur

« Avec La Fille de l’ethnographe, Timour Muhidine nous livre un roman social décalé sur les Français. Deux générations, deux manières de penser et de regarder l’autre. » Observatoire de la Turquie contemporaine

« Écrivains, artistes, intellectuels, ils ont franchi la Méditerranée pour observer l’étranger et contribuer au relativisme culturel. Un livre plein de nostalgie qui célèbre l’altérité et la xénophilie. » Littéraflure.com

Grażyna Plebanek

Furie

« Un récit puissant, tout en tension, magnifiquement porté par les voix des femmes qui luttent contre cette société sexiste, face au discours colonialiste et à la montée des extrémismes en Europe. » SV Livres

Prajwal Parajuly

Fuir et revenir

« Rien de tel que cette comédie de mœurs très dialoguée pour prendre la mesure, en Inde, des tensions sociales, identitaires et politiques persistantes. » L’Express

« Prajwal Parajuly met en scène de façon caustique une famille indienne népalophone, réunie autour d’une aïeule tyrannique. (…) Sans parler de surprises, que l’on ne dévoilera pas. Tout cela est touffu, enlevé, drôle et très original. On a envie d’aller faire un tour au Sikkim, même si on n’y a pas de grand-mère. » Livres Hebdo

William Navarrete

Vidalina

« L’un des livres les plus fascinants que j’ai lu sur la Grande île des Caraïbes. Dans ce roman, l’auteur parcourt deux siècles d’histoire commune entre l’Europe et le Nouveau Monde et plonge au cœur des relations troubles entre Cuba, les États-Unis, le Mexique et l’Espagne du XIXe siècle jusqu’à nos jours. » Babelio

Mutt-Lon

Les 700 aveugles de Bafia

« La cécité au cœur des violences coloniales. » Magazine littéraire

« Un aveuglement colonial. Un récit fertile en rebondissements mais documenté et exempt de tout exotisme malvenu. Le sort des aveugles de Bafia est exemplaire d’une époque coloniale où de bonnes intentions se mêlaient à de sordides préjugés et à une méconnaissance profonde de la société africaine. » DNA

Marc Lepape

Seules les montagnes dessinent des nuages

« Un formidable voyage initiatique, une quête intemporelle sur l’accomplissement et une interrogation renouvelée sur le sens de la vie. » Web TV Culture

Sema Kılıçkaya

La langue de personne

« Deux pays, deux langues. Comment vit-on… entre les deux. Ce roman mélancolique, qui ne manque ni d’humanité ni de réalisme, parle de l’exil, de la différence et de ses richesses, ces racines qui ne meurent jamais et des dangers du présent. » Est Éclair

Sabrina Kassa

Magic Bab el-Oued

« Avec Magic Bab el-Oued, Sabrina Kassa capte l’énergie et le désespoir de la population algérienne. Remarquable. Un premier roman échevelé, emballant et porteur de promesses. » Jeune Afrique

Nâzim Hikmet

Lettres à Taranta Babu

« Chant d’amour et de révolte, il fait vibrer ensemble la colère, la vigilance et l’espoir. » Lire

Zadig Hamroune

Le miroir des princes

« Dans le miroir des princes et de la splendeur de Damas au 8 ème siècle, se reflète la silhouette altière de Yemma. La mère du narrateur, venue sans rien de Kabylie. Modeste et illettrée, définitivement une reine pour lui. Un livre pour digérer le deuil. Une question de survie aussi. Un grand tout. Exhaustif, luxuriant, généreux. » RTS

Walid Hajar Rachedi

Qu’est-ce que j’irais faire au paradis ?

« Son livre, qui brasse une vaste matière à la fois historique, géographique, politique et humaine, éclaire, donne à réfléchir, interpelle. » Livres Hebdo

« Pour son premier roman, Walid Hajar Rachedi s’est d’emblée placé au cœur d’une problématique majeure et infiniment compliquée : immigration, islamisme, radicalisation, terrorisme... Son livre, qui brasse une vaste matière à la fois historique, géographique, politique et humaine, éclaire, donne à réfléchir, interpelle. »
 Livre Hebdo, le 4 février 2022
https://livreshebdo.fr/article/walid-hajar-rachedi-quest-ce-que-jirais-faire-au-paradis-emmanuelle-collas-freres-ennemis

« Qu’est-ce que j’irai faire au paradis ? est un premier livre ambitieux, percutant à mi-chemin entre autofiction et travelogue. Un long périple, qui sera riche en rencontres et découvertes sur le sens de la vie et de la mort, sur les enjeux de la spiritualité dans des sociétés en quête de sens. »
 RFI, émission Chemins d’écriture, le 26 mars 2022
https://www.rfi.fr/fr/podcasts/chemins-d-écriture/20220326-au-carrefour-des-mondes-avec-le-primo-romancier-walid-hajar-rachedi

« Un roman puissant et percutant qui fait passer le lecteur par plusieurs émotions avec une fin inoubliable. Peu à peu, comme un puzzle, le narrateur réunit des histoires humaines avec la grande Histoire. »
 Radio Orient, émission Invité de la Bibliothèque, le 10 janvier 2022
https://www.radioorient.com/walid-hajar-rachedi-auteur-de-qu-est-ce-que-j-irais-faire-au-paradis

« Une écriture à la fois émouvante et caustique dans un récit déchaîné, profondément inscrit dans l’actualité des 30 dernières années. Un premier roman à la fois tragique et rayonnant. »
 BOOKAPAX, le 14 février 2022
https://shows.acast.com/60d8d170ca2747001975d6c2/episodes/quest-ce-que-jirais-faire-au-paradis-walid-hajar-rachedi

« Coup de foudre. Un de ces livres qui laissent derrière eux une trace indélébile, un parfum de perfection, une envie, un besoin de relecture. »
 Mémo Emoi, le 7 février 2022
https://memo-emoi.fr/quest-ce-que-jirais-faire-au-paradis-walid-hajar-rachedi/

« C’est un texte puissant, l’histoire d’une quête intérieure qui traverse les frontières humaines et géopolitiques. Le premier roman de Walid Hajar Rachedi nous emporte dans un tourbillon envoutant, une sorte de thriller des âmes dont la fin vous mettra K.O… On n’en dira pas plus, laissez-vous porter, go ! »
 D’ailleurs et d’ici
https://dailleursetdici.news/un-premier-roman-epique-et-introspectif

Cathy Galliègue

Et boire ma vie jusqu’à l’oubli

« L’alcool, la maternité, l’amour, les secrets de famille, la paternité, des thèmes qui font l’essence même de la vie et qui sont au cœur de ce roman poignant. Publik’Art

« Une fois encore, on se laisse prendre par le style narratif, poétique et réaliste de Cathy Galliègue qui sait comme personne nous toucher. » Lecturama

Dora Djann

Ouverture à la française

« Dora Djann, un murmure turc, kurde, alévi. » RFI

Khalil Diallo

L’Odyssée des oubliés

« Avec son Odyssée des oubliés, Khalil Diallo redonne leur identité aux migrants. » Le Monde

Pauline Desnuelles

200 mètres nage libre

« Plongée en eaux troubles. D’une maîtrise impressionnante, l’auteur franco-suisse nous emmène au Cap-Vert, hors des sentiers battus. » Lire

Selahattin Demirtaş

Et tournera la roue

« L’humanisme de Selahattin Demirtaş s’attache à la dimension pathétique des individus et des destinées. » Le Monde

« Selahattin Demirtaş se révèle comme authentique écrivain : précis, subtil, poétique, cru, poignant… » Le Figaro Magazine

Selahattin Demirtaş

L’Aurore

« Selahattin Demirtas n’assène rien, il observe, use de l’humour ou de l’allégorie pour mettre au jour les blessures d’un pays atteint dans sa chair par la peur et les privations de liberté. Contournant la censure par la fiction, il poursuit son combat avec les armes de la littérature. » L’Humanité

« Prisonnier politique, Demirtaş ? Oui, mais surtout prisonnier poétique. L’Aurore est le plus beau pied-de-nez qu’il pouvait adresser à ses persécuteurs et le plus cadeau qu’il pouvait offrir à ses lecteurs. Faites passer. » L’Opinion

Sikanda de Cayron

Le sang des rois

« Tentez, vous serez envoûté. Que j’ai goûté à la saveur sucrée de cette friandise, premier roman d’une jeune femme de 22 ans qui, rafraîchissement, offre à lire ce que la littérature ne propose que rarement, un conte pour adulte, et ses rebondissements, une parabole qui prête autant au dépaysement, à l’abandon, qu’à la réflexion. Tout est politique disait le prophète, et les contes pour adultes ne font pas exception. » Kroniques

William Navarrete Pierre Bignami

Le Tour du monde en 80 saveurs

« C’est vraiment fabuleux. Il y a de l’histoire, il y a de la géographie, c’est très bien écrit. » Le Magazine de la santé – France 5

« C’est le triomphe du goût et des couleurs. » Le Parisien

« Un joyeux brassage. » Libération

Anouar Benmalek

L’Amour au temps des scélérats

« On dévore ces 450 pages portées par un souffle rare... Tableau tragique, baroque, burlesque, plein de surprises. » Figaro Magazine

« Épique et picaresque. D’une imagination foisonnante. » Le Temps

« Une réflexion ample et profonde sur les différents visages de la barbarie... Un sens de la narration et du rythme hors pair. L’élan romantique, l’idéalisme, la passion. » Jeune Afrique

« Un grand souffle romanesque. Un grand roman d’amour et d’aventure... avec
une bonne dose d’humour. » RFI

« L’Amour au temps des scélérats d’Anouar Benmalek est l’un des romans les plus gonflés. Il n’hésite pas à créer une fiction foisonnante à partir de la désastreuse situation syrienne et s’autorise à mêler les différents registres, à faire cohabiter le tragique et le burlesque, le sarcasme et l’effroi. » Le Monde

« Inspiré par l’univers de Gabriel Garcia Marquez, Anouar Benmalek revient avec un roman au sentiment puissant. » Livres Hebdo

Djaïli Amadou Amal

Les impatientes

« Un roman bouleversant racontant le destin de trois femmes du nord du Cameroun, à qui on n’assigne qu’une seule place : épouse soumise au mari désigné dès l’entrée dans la puberté. Amal sait pourtant que l’espoir, même infime, existe. Et cet espoir a un nom : éducation. »

À la droite du père

« Roman virtuose sur l’antisémitisme d’une certaine France et les dérives violentes de tous les extrêmes, À la droite du père s’impose comme une réflexion âpre et violente sur le poids à porter, au-delà des ans, des fautes familiales originelles. »

Babylift

« Babylift est un roman aussi addictif qu’émouvant. » Midi Libre
« Un récit-enquête entre le Vietnam et la France. » France info